« Je ne me suis jamais autant senti en danger que sur la montagne ». De retour du sommet de l’Everest, qu’il a atteint mi-mai, le skipper français Maxime Sorel, 10e du dernier Vendée Globe, évoque ce double accomplissement hors du commun.
A quelques jours des 70 ans de la première conquête de l’Everest, réalisée le 29 mai 1953 par le Néo-Zélandais Edmund Hillary et le sherpa Tenzing Norgay, un autre exploit inédit a eu lieu à 8.848 mètres au-dessus du niveau de la mer.