Emmanuel Macron s’est dit vendredi « à disposition de l’intersyndicale » pour discuter des questions liées au travail, mais sans remettre en cause sa réforme des retraites. Le chef de l’État ne veut pas d’un « pays à l’arrêt » et entend « continuer à avancer » malgré la colère sociale qui a provoqué le report de la visite d’État de Charles III.
Au lendemain d’une nouvelle journée de mobilisation marquée par un regain de violences, le patron de la CFDT Laurent Berger a appelé, pour « apaiser les choses », le chef de l’État à mettre « en pause » pendant six mois le projet phare de son second quinquennat.