En première ligne sur la très contestée réforme des retraites, le ministre du Travail Olivier Dussopt se retrouve fragilisé par des soupçons de « favoritisme » lorsqu’il était maire d’Annonay, un grief qu’il a vigoureusement contesté samedi.
M. Dussopt, qui a mené les concertations retraites à l’automne et doit défendre à partir de lundi devant l’Assemblée nationale la réforme phare du second quinquennat d’Emmanuel Macron, « a toute la confiance de la Première ministre », a indiqué Matignon.