Le secrétaire national du PCF Fabien Roussel a accusé samedi Emmanuel Macron de créer un climat de « guerre civile », et de compter sur les violences dans les cortèges contre la réforme des retraites pour « retourner l’opinion ».
« Le président de la République, droit dans ses bottes, a provoqué les Français, suscité beaucoup de colère », a accusé le leader communiste, interrogé sur RMC, fustigeant la décision de recourir au 49.3 pour faire passer la réforme, et une allocution télévisée « décalée, méprisante, pleine de morgue » mercredi.
« Malheureusement ça a suscité une colère violente de la part de quelques-uns.